Mes mecs et moi... et moi... et moi... et MOUAH???

Ils l'ont fait, ils ont assumé (présumons que leurs thunes sont bien planquées et protégées), c'était en public, ne les oubliez pas: rappelez-vous qu'en achetant des disques/livres/dvd de ces gens, vous avez contribué à soutenir et à élire qui vous savez. Et d'autant plus si vous n'avez pas déplacé votre gras jusqu'au bureau de vote:







et réjouis-toi, je t'ai épargné Faudel (dont la carrière n'est pas repartie à la hausse), Bigard (qu'est-ce que je peux dire..), Christophe Dominici (continue à montrer ton cul sur le calendrier, ça suffira) et (arf) Gilbert Montagné (non, y'a trop de vannes à faire, j'en aurais pour la nuit...).

Si par hasard tu es arrivé-e jusqu'en bas en te disant "fais chier, je regarde pas ça!!!", je t'invite à serrer les dents, les fesses, et à faire comme chez le dentiste: tu ouvres la bouche et tu comptes les mouches au plafond... sauf que là, non, tu mates les gens opinant niaisement, assis derrière les gens qui vomissent sur le micro. Avec un peu de chance, tu peux même espérer qu'ils avaient un max de pognon en bourse et qu'ils ont flippé leur race et grave vendu à perte. Merde quoi... Nawel arrive... fais gaffe à QUI tu donnes ta thune... ;-)))

le matin, en faisant les courses (et cette version, pas une autre...)



le soir, en zonant sur internet:

Yessss!

Avec ma nouvelle décennie à moi que j'ai qui vient de commencer, j'ai décidé plein de choses (mais je te mets pas tout, ça peut être long, voire, m'emmerder moi-même rien que de devoir l'écrire) dont:

1) ne plus commenter les notes des blogs sur lesquels je croise inévitablement l'espèce de connasse (je cite Attila... :D) qui devrait vraiment vraiment vraiment penser à consulter un psy... ça pourrait me désoler, mais même pas: si elle y est, c'est que je n'ai rien à y foutre...

et

2) inaugurer une nouvelle catégorie (à date non fixe, et selon l'humeur), un truc qui ressemble à de la nostalgie, qui a le goût de la nostalgie, mais que c'est du Canada Dry... En clair, le nostalgie, c'est pas mon truc: rien ne me manque vraiment du passé (à part ma capacité à bouffer comme 4 sans prendre un gramme)! Mais en voyant mes gosses grandir, parfois, je me dis que c'est marrant, leur façon d'appréhender les choses et ça me fait penser à leur (fabuleuse) mère...

DONC: le hamburger (p'tain, ça y est, on y arrive, sorry pour l'intro à rallonge)

The hamburger, à la fin des 70's, on connaissait pas ici (dans le sud, et encore, même à Paris, j'ai un doute...). La première fois que j'en ai entendu parler, c'était au retour "d'Amérique" du frère de mon beau-père (qu'est cousin avec le voisin de la nièce par alliance de ma grand-mère). "Là-bas", qu'il disait, "ils mangent des sandwiches dans lesquels tu as tout le repas complet!"
Genre: j'avais pas 10 ans (ou à peine) et pour moi, un "repas complet", c'était (comme quoi tout change) une entrée, une viande, un légume, le fromage... et le pain, il était long et s'appelait baguette.

De là à imaginer ce qu'on trouve aujourd'hui chez Ronald, y'avait une galaxie (far far away...)!

Quelque part dans mon cerveau s'est alors formé une image qui s'y est incrustée à jamais:

une immense baguette de -facile- un demi-mètre de long, avec le repas dedans: les tomates d'un côté, puis la viande et les légumes et enfin le fromback! Pas de sauce, nân, juste tes plats mis bout à bout dans la baguette... Et jusqu'à ce que j'y aille moi-même, chez Ronald d'Amérique, à Londres, jamais il ne me serait venu à l'esprit qu'on pouvait empiler la bouffe, badigeonnée de sauce non mayonnaise, entre deux tranche de brioches plates...

En même temps, le sandwich maison de la mamie, c'était: une demie baguette, de la tomate écrabouillée, du jambon de pays (cru, je précise pour les gens du nord), un filet d'huile d'olive et du sel... (non, merci, pas d'ail!). Et ça, c'était au goûter...