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12/09/2010

Dimanche en musique...

Bon, aujourd'hui, actualité dayienne oblige (mais pas que... ), tu vas (ou pas) te farcir une petite sélection des Guns.

Voilà, t'es prévenu-e.

Tu peux te barrer.

 

Et ouais, y'a des messages subliminaux... comme (presque) toujours:

 

(si t'aimes pas les intros longues, va directement vers 2'30")

 

(la drogue, c'est mal, on te dit... la preuve, y'en a un qui est

obligé de brailler pour rattraper les fausses notes des autres... ;-)))

 

 

(alors, ça, en live, il me taaaarde, bordel!!!)

 

 

(rahaaaa... et avec la voix un peu cassée, c'est ni-ckel...)

 

PS: il me tarde, il me tarde, il me taaaaaarde!!! ... hein? tu le savais? ok, je file, de toutes façons, j'ai piscine... nan mais, vraiment...

05/09/2010

Dimanche en musique...

Ben ouais, JE SUIS DE RETOUR, BORDEL!!!

 

(enfin, un peu: j'ai encore des trucs à faire irl... genre...)

 

Cadeau pourri du jour (pourri à cause des effets secondaires possibles):

 

 

et les paroles (moyennement joyeuses, certes):

 

The morning sun touched lightly
on the eyes of Lucy Jordan
In a white suburban bedroom
in a white suburban town
As she lay there neath the covers
dreaming of a thousand lovers
Till the world turned to orange
and the room went spinning round.

At the age of thirty-seven
she realised she'd never
Ride through Paris in a sports car
with the warm wind in her hair.
So she let the phone keep ringing
and she sat there softly singing
Little nursery rhymes she'd memorised
in her daddys easy chair.

Her husband, he's off to work
and the kids are off to school,
And there are, oh, so many ways
for her to spend the day.
She could clean the house for hours
or rearrange the flowers
Or run naked through the shady street
screaming all the way.

At the age of thirty-seven
she realised she'd never
Ride through Paris in a sports car
with the warm wind in her hair
So she let the phone keep ringing
as she sat there softly singing
Pretty nursery rhymes she'd memorised
in her daddys easy chair.

The evening sun touched gently on
the eyes of Lucy Jordan
On the roof top where she climbed
when all the laughter grew too loud
And she bowed and curtsied to the man
who reached and offered her his hand,
And he led her down to the long white car
that waited past the crowd.

At the age of thirty-seven
she knew she'd found forever
As she rode along through Paris
with the warm wind in her hair

 

PS: pour celles et ceux qui l'ignorent, depuis hier soir (enfin, depuis cette nuit... hin hin hin), ça fait 18 ans que ChériChéri et moi on se supporte...

06:05 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (13) | |  Facebook

02/09/2010

En attendant que je t'en ponde une vraie...

L'avantage (s'il doit absolument y en avoir un...) de faire plein de kilomètres avec 3 moutards casse-couilles et un futur-ex mari qui boude au volant, c'est qu'au lieu d'écouter Axl (J-11, bordel!!!!!!!!!), on se fade la radio (mais pas celle que tu écoutes, ma Pivoine, vu qu'il parait que c'est "la radio de Lagardère" et que "Dr L est un collabo"... tu comprends mieux mon désespoir?) et tant qu'à être sur l'autoroute, on zig-zague entre France Info, France Musique (une première cette année: Beethoven et sa 9ème ont endormi le Greffon!!!) et, of course: la radio située à 107point7.

 

Du coup, on a entendu plein de choses qu'on ne voulait pas entendre mais c'était ça ou les gamins hurlants...

Et puis parfois, des choses drôles qui s'accordent bien avec ton humeur sur la route (et la mienne pendant les vacances "en famille"):

 

(je sens que ça va parler à certainE...)

 

Bon, sinon, tu vas rire, mais au bout de 6 semaines sans ordi à moi et sans internet-à-volonté-frites-ketchup-coca... comment te dire... je me sens bizarre dans ma vie irl...

 

Allez, te mine pas pour moi, y'a des choses plus grave sur terre que mes états d'âmes de quadra énervée... et arrête de chialer dans mes comms, steup, JE REVIENS QUAND JE PEUX, BORDEL!!! (mais oui, je t'aime aussi...)

12:07 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (18) | |  Facebook