Mes mecs et moi... et moi... et moi... et MOUAH???

non, sérieusement, pas question que je te dise ici où et quoi!

J'ai toujours su que je serai tatouée. C'était évident dès l'instant où j'ai tenu un crayon (stylo, feutre, etc): j'ai commencé à décorer mes mains, mes bras, mes cuisses (ben, ouais: l'été!)... Au collège, mes poignets remplaçaient le cahier de texte (c'est pas hype, un cahier de texte!); plus tard, je suis aussi passée par la case scarification (sur ma joue! je crois que j'ai encore une petite trace, d'ailleurs...), tentative de broderie sous la peau (un grand merci au passage à ma branquignole de tante, qui faisait ça devant moi quand j'avais 6-7 ans, sauf qu'elle "cousait" des lettres à l'intérieur de son poignet, là, où, accessoirement, elle grattait parfois des allumettes pour dessiner l'initiale de son chéri!... alors que moi, douillette, je me contentais de faire ça en haut de la paume, où il y a plein de peau pas trop sensible!), tattoo "maison" à l'encre de chine avec une aiguille à coudre (m'en fous, je couds pas, en vrai!), brûlure au souffre (re-merci Tatie, donc!)...
Je savais qu'il me faudrait attendre 18 ans pour le faire. J'ai patienté. J'ai réfléchi au motif ('tain, là, par contre, j'ai ramé!). Comme toutes les ados, j'ai eu envie d'y mettre le nom de mon mec (heureusement pour moi, au moment de me faire tatouer, j'étais célibataire!!!!), de la fleur, de la tête de mort (si!), etc, etc...
Je ne connaissais personne qui soit tatoué. Per-son-ne!
Et un jour: pouffff! comme ça! le motif s'est imposé à moi. Mais j'ai quand même attendu encore: je ne connaissais pas de tatoueur! Je flippais un peu de confier ma peau à n'importe qui. Ce n'est pas anodin. Pour moi, ça n'avait rien d'un truc "à la mode". C'était moi. Ma peau, bdm! Un jour, un pote du boulot a vu un reportage sur un tatoueur qui oeuvrait dans le quartier (réputé... le tatoueur, pas le quartier!). Je suis allée me renseigner, le type m'a montré son matos (t'excite pas: je parle de l'autoclave!), on a causé prix... et pris rendez-vous pour le soir même! Warf! Le soir, je me pointe: un monde pas possible: des zonards, des militaires, quelques nanas piercées; ça cause "fête", joint, coke, etc... je fais la fille cool... je souris un peu, mais pas trop; je deale mon dessin avec l'autre tatoueur: tant mieux, le feeling passait mieux avec celui-ci! J'explique grosso modo "l'esprit" du dessin: il fait une ébauche sur un bout de papier. J'approuve. Il tatoue à main levée. Je me la pète grave : j'ai un dessin ORIGINAL!!!!! (comme dans: y'en a pas deux identiques!!!!).
Le truc le plus drôle là-dedans, c'est que le matin même, j'avais encore plein de gribouillis sur mes mains et à l'intérieur de mon poignet gauche. Je n'ai plus jamais dessiné sur ma peau. (sauf, une fois, un petit coeur au milieu de la paume, pour envoyer un bisou à mon fils!).
Un an plus tard, j'avais encore envie d'un tattoo. Là, le modèle est venu du logo (oups!) d'un groupe de rock (clin d'oeil à M'sieur Largo!). Mais je n'en dirai pas plus... Hush Hush!
Bon, j'en ai un autre, et ce n'est pas sensé être le dernier. Je cogite à quelque chose de plus... "couvrant".
...
Mais noooonnnn! Je ne vais pas me faire recouvrir de plein de moches tattoos bleuâtres!
Je me le cogite. Je me le cogite....

'tain, j'ai rarement vu un questionnaire aussi neuneu!
le résultat est mortellement drôle, heureusement!

Your Lust Quotient: 61%

You are a very lustful person - and it sometimes gets the better of you! You know how to hold back, but you hardly ever do.

PS: je pense vraiment que les questions sont débiles et le résultat étonnant!

waow! la vache! ils ont bien failli m'avoir, les sales gosses!

SIX des comme ça! Tous surexcités! Tous avec un vocabulaire basé sur... comment dire? voici quelques exemples: tu pues du cul! tu pues des fesses! la gâteau, il pue du cul! Au revoir culcul! Au revoir caca! Au revoir connasse (si, si, mais, pas à moi, juste en l'air, comme ça, pour voir ce que son père allait dire...)
et après leur passage dans la maison ('tain, c'était pas la mienne! ouf!), ça donnait ça:


Ils ont explosé les 100 ballons que nous avions gonflés avec nos petits poumons (contente d'avoir arrêté la clope, sur ce coup-là!), ils se sont goinfrés de chocolat, chewing-gums, sucettes, sodas, z'ont pas goûté le délicieux gâteau (pardon, la charlotte!) qu'était pourtant magnifique :

Ils ont hurlé, chanté des horreurs ("vive le vent", "petit papa noël" mais pas les versions officielles!), sifflé (ben, oui, je reconnais, il y avait des sifflets "brésiliens" dans la piñata! pourquoi "brésiliens"? J'en sais rien, c'est écrit sur le paquet... ils n'ont pas de string, ça c'est sûr...), réussi à faire crier ChériChéri (zut, j'avais plus de film dans ma caméra non numérique!), ils se sont battus comme des chiffonniers (merci, E., d'avoir offert ce magnifique lot de 3 épées à Témüjin! Je suis sûre qu'Attila et lui vont en faire bon usage!), se sont fachés, réconciliés, bousculés, dénoncés, insultés, jalousés, tabassés (à l'occasion), flanqué des coups de pieds... et tout ça en seulement 3 heures (pas folle, Day, j'allais quand même pas les garder jusqu'au soir!!!!)
Attila et son petit pote du même âge ont été super sages (???): l'un s'empiffrant, l'autre jouant tranquillement dans son coin... où va le monde???
ah, oui, last but not least: quatre d'entre eux ont baissé leur froc pour nous montrer la lune! J'ai une preuve en image, mais je la garde pour quand ils occuperont de hautes fonctions dans la politique (sont tellement tordus, ces gosses, finiront bien à la tête de l'Etat!)... héhéhé!
bon, je vais préparer la teuf de l'an prochain... (enfin, je vais ME préparer à la teuf de l'an prochain!)