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21/07/2009

Cricri, Johnny et Edith sont dans un bateau...

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Au cinoche, le grand jeu de ChériChéri et mouah-même est de reconnaître les acteurs secondaires, voire, les apparitions fantômatiques (p'tain! r'garde, Mickael Jackson!!!) dans les films sans avoir bûché le casting avant, of course!

Et pour Public Ennemies, c'est moi qui ai gagné! J'ai identifié Stephen Dorff (entre deux nausées, c'était pas simple... je t'expliquerai, pars pas!), Stephen Graham (merci les Arctic Monkeys), situé (je me rappelle jamais de son blase au bon moment) Stephen Lang (c'est moi où ils s'intitulent tous Stephen???) pendant que l'homme m'assurait que "si, je te dis que c'est Giovanni Ribisi!" ... "Noooon?" et en captait un autre dont j'ai déjà re-oublié le nom mais qu'on a vu dans 50000 séries télé ricaines. Pis, Diana Krall, ça compte pas (ChériChéri a appelé ça une faute de goût et qu'à la limite, tant qu'à planter l'ambiance et mettre une chanteuse blanche entourée de musiciens noirs aux US of A dans les années 30, ils auraient mieux fait de prendre Madeleine Peyroux... J'adore mon ChériChéri...). Pis, j'ai gagné, j'te dis, Stephen Graham, c'est du mot compte triple. (pis, les autres qu'on a reconnus, c'est à égalité...)

 

Sinon, le film... Euh... comment dire...le rythme est irrégulier (mais pas irrégulier "bon", irrégulier "portnawak") et la caméra (encore un effet pervers de la discrimination positive) est tenue par un épiletpique myope. Y'a tellement de gros plans (non, mais gros gros plans) que j'ai eu le temps de compter les points noirs sur la gueule de Depp (il a aussi le dos des mains poilu, ainsi que la première phalange.. pis, les pores, sont pas très très reserrés... ). Close-up. Gun fight. Sang. Close-up. 360°. Close-up. Gun fight. Close-up... J'ai mis une heure à reconnaître Stephen Dorff, ça bougeait tout le temps, et quand ça tanguait pas, on voyait quelqu'un en gros plan, et lui qui s'agitait en arrière plan (dans le flou, donc)... dur dur...

A part ça, on connait (ou pas) l'histoire (nous, on savait, merci le câble et nos 10000 chaînes, on attendait la chute...) mais faut aimer les gun fights et le grand huit. Faut aussi apprécier Johnny D. et Christian B. (rrrrrrrrr). Le premier, je ne peux pas l'encadrer. Très très bon acteur: juste, lui, il me revient pas (et j'ai adoré Benny & Joon et Edward aux mains d'argent). Le second, je suis fan. De l'acteur (depuis l'Empire du Soleil) et du mec (parce-que j'ai un gros faible pour les teigneux... et c'est pire quand ils ont un cheveu sur la langue ou un ptit défaut de prononciation... et non, je ne parle pas du chuintement dû à la présence d'un dentier, mélange pas tout, bordel!).

Le film, lui, n'est pas impérissable. Michael Mann a fait mieux. Grosso Modo, c'est une version années 30 de son Miami Vice (ouais ben, c'est mon avis, hein!) ou au mieux, une version sous meth de "Crime Story" (la série? tu te rappelles pas? Avec Stephen Lang dedans, justement...). Le tout sauce western spaghetti (avec les gros plans d'Ennio M. mais en plus longs et plus nombreux... mais vraiment beaucoup beaucoup plus nombreux... ah, non, mais je te jure...). En V.F, même gratos, j'y serais pas allée.

Pour le fun, laisse-moi te dire quand même que dans mon délire habituel monomaniaco-obsessionnel, j'ai été servie, puisque le film débute dans l'Indiana. Et qui qu'est né dans l'Indiana, hein? (non, je le dis pas, t'as qu'à deviner!)

Côté zizique: super, c'était raccord avec notre brunch sous la glycine (et sur le hamac) quelques heures plus tôt: beaucoup de Billie Holiday. En même temps, ça donnait un peu l'impression qu'il n'y avait qu'elle à l'époque... même moi ça m'a surprise... (non, mais, j'overkiffe, donc, je couine pas, mais c'est dommage... c'était l'occasion...). Puis Diana Krall, je dis comme ChériChéri: technique ok, feeling DTC.

 

L'homme n'a pas vu les 2h et quelques passer... moi, si...

En même temps, je m'emmerde vite au cinoche (et si t'as besoin d'une comparaison, j'ai beaucoup aimé Batman et les Watchmen, je n'avais pas vu les heures passer, c'est un signe).

 

Voilà!

 

Bientôt, je te parle de Casino Royale que j'ai regardé en diagonale et d'un seul oeil, mais ça suffisait largement.

 

20/07/2009

Oh Manu! Tu descends?

Ce que j'aime en Grande Bretagne, c'est l'Ecosse.

Et sinon:

 

et puis, les vieux:

 

 

et puis, les autres vieux (RIP Sid):

 

 

et encore des vieux (RIP Joe):

 

 

Bon, tu viens pogoter, Manu?

...

Quoi?

...

Kèstudis?

...

ça parle pas de bouffe?

...

Ben v'la aut'chose... Y'a des trucs à bouffer, là-bas?

...

Si je dis "Au début, j'ai cru que ça en était, après, j'ai regretté que ça n'en fut pas", ça t'évoque quelque chose?

...

oui, c'est ça, le Haggis. Ben, c'est pas anglais, je sais... pis j'en ai jamais goûté, sinon, je crois que je n'aimerais pas autant l'Ecosse.

...

ah, oui, et sinon, je suis vicieuse, ptêt, mais j'adore ça:

 

 

Scotts porridge oats large.jpg

(le porridge aussi, d'ailleurs)

 

 

19/07/2009

Pas de gosses + 5 minutes = pause vernis!!!

(oui, j'ai écrit pause et pas pose, c'est fait EXPRES, bordel!)

Je ne sais toujours pas s'il faut ou pas assortir (coordonner? :D) les ongles des pieds et des mains.

M'en fous.

Demande à Océane

Hier, donc, entre dépression par manque de gosses (oui, je sais, quand ils seront là je râlerai qu'ils me font chier pompent l'azur...), prise de paracétamol, absorption de tisanes, pleurnicheries en tous genres, rangement et ménage au son des Guns (à ce sujet, ChériChéri craque un peu, je crois qu'il en a marre de Chinese Democracy, il m'a mis Spaghetti Incident, que je n'aime pas, c't'un signe, moi j'dis...) et réception des camaraaaaades (+ des potes qui ont débarqué à l'improviste, mais c'est des qu'on aime, alors ça va... pis, ils habitent en Alsace, alors la surprise était de taille... pis, ils vont pas le faire toutes les semaines, quoi, non plus...), j'ai trouvé le temps de peinturlurer mes excroissances en kératine pure (de bonne qualité, ma kératine...).

Que j'en profite pour te montrer mes mains (sauras-tu deviner à qui s'adresse le clin d'oeil vernillesque?), enfin, ma main gauche (après mon sein droit... et avant mon pied, que tu voies si j'ai assorti ou pas...):

 

S6301363.JPG

(tu le vois mon mp3?)

et mon pied, tu le veux aussi?

 

S6301365.JPG

(en agrandissant, tu devrais voir

ce qui passe sur le lecteur)

 

S6301366.JPG

(ça, c'est le sac que j'ai acheté à

Bourges en 2006 après que mon sac

à moi soit décédé lors du premier

pogo au concert des Arctic Monkeys)

 

 

Et sinon, en rangeant la chambre des gamins, j'ai trouvé un papier de la main de Témüjin, qui porte décidément très très très bien son surnom (pour celles/ceux qui ne suivent pas, Témüjin est le nom de naissance de l'empereur Gengis Khan... le type qui a massacré plein de monde et qui a fait établir et mettre par écrit les lois de son empire, qu'avant lui, c'était selon l'humeur...). Il a établi une liste écrite des règles de son "clan". Et tous les membres du clan ont signé.

ça me troue le cul.

Ce gosse est un mégalo 100%... un futur chef du monde libre...

Je vais lui faire prendre des cours de musique: il faut qu'il s'exprime artistiquement et devienne le futur Axl Rose ou il tournera mal version NDJ.

 

Ah, et sinon, aussi, j'ai passé une super soirée. Bien mangé, bien bu, déconné dehors jusqu'à 1h du mat'!

Fuck les voisins!!!!