Mes mecs et moi... et moi... et moi... et MOUAH???

Hum Hum...

Alors, aujourd'hui, 24 décembre... Je te présente les chefs-d'oeuvre de mes enfants.

Appelle-pas le psy tout de suite, steup, je lui porterai les dessins en janvier (il a besoin de repos, après que Témüjin lui ait dessiné une scène de guerre avec chars, fusils d'assaut, morts et blessés agonisants...).

Nous allons donc commencer par Attila, qui nous a offert son dessin "C'est moi qui ai fait le pastel, là" "oh, c'est beau! et le bonhomme, là?" "C'est le père noël, il est coincé dans une bulle... hihihihihi".

No comment. (jamais avec Attila) Et je n'ai pas demandé pourquoi il était sur un hummer et pas sur le toît d'une casba (en vrai, c'est notre voiture, on la reconnait vachement bien, même sans les autocollants... hein Shaya?).

Y'a pas longtemps, sur Twitter et ailleurs, il a été fait mention d'un film "romantique" que j'ai moi-même qualifié de culcul la praline (et américainement formaté, même si anglais).

Ben tiens, je me suis dit: t'en veux de la comédie romantique? Et avec la bonne touche de pathos dedans?

Je pensais te coller la bande annonce, mais elle est pourrave, alors à la place, je te file (c'est cadal, dis pas merci) les 10 premières minutes.

Ce film fait partie de mes films préférés (K7 achetée en 98 à Glasgow... un jour, j'aurai le dvd!). Quand je l'ai collé dans le lecteur, j'ai commencé à le regarder toute seule et je me suis dit que non, finalement, j'allais attendre ChériChéri. Et ben, on est restés scotchés devant jusqu'au bout. Steven Weber et Michael T Weiss sont excellents du début à la fin!

Et parce-que tu vas dire "ouais, c'facile, histoire d'amour et sida, blablabla...", je t'ai aussi trouvé la bande annonce d'un autre film absolument magnifique (oui, je sais, y'a comme un nid de mâles tatoués dedans... mais Rena Owen est juste sublime), que tu peux le regarder because depuis, Lee Tamahori, il a un peu fait que de la merde hollywooderie.

Voilà. Maintenant, tu as deux films de plus à regarder pour parfaire ta culture ciné.

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Allez, et en bonus, parce-que c'est naouèle (si tu n'aimes pas le groupe dont on ne doit pas prononcer le nom, coupe le son... juste, tu n'auras pas mes commentaires...):

Sur ce, je me casse pour de bon...

Alors, j'ai dit que je ne parlais pas de Celui-dont-on-ne-prononce-pas-le-nom-aujourd'hui.

Mais quand même, toi qui ne subis pas mes tweets les jours de concert, ou qui n'as pas accès à mes chouchous sur le bouc, pas plus qu'à mes amis sur myspace (rires enregistrés, svp) tu es lésé-e: tu ne sais pas qui est DJ Ashba. (Pour les flemmasses du click utile et les non anglophones: apprend le piano à 3 ans, se produit en public à 5 en jouant "L'hymne à la Joie" de Ludwig Van B., apprend la batterie, la guitare, etc etc...)

Et est-ce que c'est ma faute à moi s'il a été engagé pour la tournée mondiale du groupe dont je n'écrirai pas le nom aujourd'hui?

Est-ce ma faute à moi, si en plus d'être un excellent (le mot est faible) guitariste (mais pas que...), c'est une bombasse tatouée? Hein?

J'y peux quoi, moi?

Alors, on va faire fuir Manu (Fuis, Manu, je ne peux pas changer le nom de la vidéo!!!)

Donc, primo, la zique ("The Ballad of Death", écrit par lui-même):

Deuxio, la bête en photos:

et hop:

et re-hop:

et re-re-hop:

bon, ça ira, la démo?