Mes mecs et moi... et moi... et moi... et MOUAH???

[Edit surprise -moi la première, je tombe de cul: sur la note "Encore des cadeaux", Chouyo a posté le 3000ème commentaire de ce blog!!! c'est fou, non? Enfin, y'en a qui atteignent ce score en seulement un an... moi, en presque 3 et 500 et quelques notes... hihihi!]



Attention, dans les images qui suivent, y'a des trucs flippants...

Si tu viens de déjeûner, tu devrais pas regarder... j'dis ça...

Ben voilà!

En exclusivité (presque) mondiale, quelques petites photos de la playa... (toutes cliquables)

...was here...

(mode "baleine échouée"... mais c'était troooop bon!)

Retenir un Greffon de 10kg, pas toujours facile...

non, non, ils ne se battent pas...

... no comment...

et à Paris, fait beau?

nân, parce-qu'ici, c'est "youpi!"...

(oui, je sais, c'est la photo du siècle, et c'est même pas moi qui l'ai prise...)

Sinon, c'était remuant, bruyant, cool, reposant aussi (la sieste sur la plage, un must... juste, j'avais pas pris mon portable mais ChériChéri a réussi l'exploit de retrouver le n° de M. et m'a réveillée... pour me demander où on était... il pensait qu'on serait rentrés pour le goûter... pffff...), vachement moins de vent que d'habitude (mais bon, du vent quand même, hein), énervant (arriver à empêcher les grands de se latter est une occupation à part entière)... D'autres sorties sont prévues, mais seule avec les trois, je sens pas trop le bord de l'eau...

Allez, bonne fin de journée :D

Non, je t'ai déjà torturé-e avec l'Espagne, alors, on va éviter la daube oh-hoho-hoho...

Au moment où tu lis (enfin, samedi, that is...), je suis pas loin des pieds dans l'eau...

A 10 heures du mat' maximum, je quitte Toulouse pour la journée, avec des provisions pour un siège (normal, j'emmène le Greffon...), en compagnie de M. et des moutards. Direction Narbonne-plage (oui, je sais, c'est nul, c'est moche, y'a rien à voir... du sable et de l'eau...pis aussi du soleil...)...

Normalement, j'emmène pas l'appareil photo, donc, pas de reportage (mais M. emmène le sien, alors, suspens...)

en attendant, tu peux guincher:

Bonne journée la foule!