26/05/2010
#2012
Oh putain! Tous aux abris! Les femmes et les enfants d'abord: ça se précise!
La fin du monde approche, bordel...
Tu sais, le truc, avant les catastrophes majeures, quand tous ces cons de piafs (d'ailleurs, ptit aparté: y'a moyen de les faire taire autrement qu'en leur tirant dessus? Nan, je demande, hein, because, en ce moment, le matin, ce ne sont pas les gosses qui me réveillent...), les piafs, disais-je, se taisent tous subitement en même temps, que si un moucheron pétait, tu l'entendrais (sauf qu'ils sont comme les piafs, je pense, anus contracté au maximum et gorge nouée... ou vice versa...), ben j'ai la version Klingonne, ici!
Pas plus tard que samedi dernier, alors que j'entrais dans la chambre des fauves afin de récupérer le Greffon pour le trainer à table, je découvre, tranquille et décontracté, Attila, remplissant de jouets un petit panier en osier. "Je range la chambre", qu'il me dit. Passée la première minute de tétanie, je le félicite et lui propose de venir déjeûner. "Non, je voudrais ranger encore". Ptain, je te jure, parfois, il me fait peur, ce gosse...
Est-ce à cause de ça que, quelques heures plus tard, mue par une pulsion suicidaire violente, je pars, à pieds, chez Décath', avec les 3 furieux.
11h du matin, il était. Plus ou moins 5 minutes. (Enfin, ils étaient devant la téloche, alors, c'est plutôt plus que moins... Normalement, ils étaient punis de tévé pour tout le week end, mais le grand, comprenant que le moyen allait être récompensé pour avoir spontanément amélioré la circulation schengenienne dans la chambre, a rejoint son frère... A ce stade, je n'avais pas encore pensé à sortir le thermomètre, j'avoue... j'aurais dû...).
A tout hasard, je me lance dans une très bonne imitation de Super Nanny (la verticalité en plus) et assène aux 2 plus grands énergumènes les règles de vie des minutes à venir: ne pas courir, ne pas crier, ne pas faire rire le Greffon, essayer les chaussures. Le but du jeu étant de revenir chacun avec une paire de sandales identiques à celles de môman (la shoe qui laisse voir les knackis).
Trajet à pieds: fait.
Rappel des règles précitées une fois en cours de route et une fois devant l'entrée du magasin: fait.
Repérage du rayon chaussures pour enfants: fait.
Une chaussure de chaque taille à chaque gamin pour test in vivo, le cul sur la moquette, au milieu de l'allée: fait.
Essayage: fait.
Deuxième chaussure récupérée dans le bac: fait.
Re-chaussage express: fait.
Paiement à la caisse: fait.
Sur le ticket de caisse, il est écrit: 11h41.
Quand on est arrivés dans le bon rayon, il y avait une maman qui faisait essayer à son chérubin, le même type de shoes. Le gamin essayait encore après notre départ.
Après avoir fait 20m dans la rue, j'ai craqué nerveusement, et j'ai dispensé des bisous et des paroles de félicitations que j'étais troooop fière, bordel! J'étais à ça, mais vraiment à çaaaa, de pleurer...
Et on est repartis à pieds à la casa, ils ont un peu râlé (surtout Témüjin qui n'a pas trop l'habitude de marcher, c'te grosse couleuvre), se sont poussés pour laisser passer des vieux et des vieilles gens sur le trottoir, on porté tour à tour la poche (ou sachet) avec les 3 paires de grolles (oui, même le Greffon a insisté pour...). Coca pour tout le monde, j'ai décrété! Et omelette aux pommes de terre!
...
Je ne sais pas si je vais m'en remettre... Y'a Apophis qui repasse plus tôt que prévu?
...
Et sinon, pour le fun, l'autre jour, je bouquinais peinarde dans la cuisine, et j'ai laissé trainer mon livre sur la table. Livre que l'Homme a trouvé le matin en se levant...
- hey, mais, ton bouquin, me dit-il dans la matinée, en désignant l'objet, il est écrit par Lowenstein!
- ben ouép... j't'avais pas dit que je l'avais achetéééé?...c't'un oubli...
- je vais te le piquer... s'il écrit comme il parle, ça doit être bien à lire...
- ben ouép... pouquoi tu crois que je m'isole dans la cuisine pour lire au lieu de zoner sur internet? hein?
Allez, je file profiter de la vie avant que la Garonne et le Canal du Midi nous fassent un tsunami...
PS: normalement, ce matin, le Greffon avait "atelier d'écoute musicale" à la Halte, mais la directrice m'a demandé d'avoir la gentillesse de bien vouloir annuler son inscription, au prétexte que ma merveille allait mettre le waï et faire iéch les autres moutards... Pour le prochain atelier, je lui ai proposé d'organiser une course de haies... :D
25/05/2010
Visite touristique et culturelle des boutiques d'Antalya...
Et hop! Après quelques jours au pays des concours et de la musique, on retourne au Turcland pour les deux derniers jours du séjour...
Jeudiiiii!
Aujourd'hui, pas de réveil par le téléphone, pas de départ de bus à heure fixe... manque de bol, j'ai les crocs... il fait trop soleil dehors... je me lève en douce, je prends ma douche, je m'habille et hop: prête à attaquer le buffet :D Du coup, l'homme se traine avec moi jusqu'au resto...
Après ça, on file boire un expresso chez Starbucks et acheter un plan de la ville: l'occasion de s'apercevoir que malgré tous les tours et détours qu'on a faits en bus la veille, j'avais repéré la bonne direction pour le centre-ville (l'appel de la boutique, c'est mon 6ème sens... ou mes petits cailloux à moi...)... ChériChéri en a été tout déboussolé (c'est le cas de le dire :D)... On décide de tout faire à pieds, en passant au maximum par le bord de mer... L'homme essaiera quand même de me convaincre de prendre le tramway, mais j'en ai trop ras les couettes du bus, je veux marcher...
A 12h15, on est à la terrasse d'un "café" (c'est plutôt un squat en semi-dur...) dans la vieille ville et on boit un giga jus d'oranges en grignotant des caouettes enrobées de trucs plus ou moins chelou... Mon alliance est complètement incrustée dans ma viande... pur bonheur...
En chemin, Phil a trouvé un stade de foot (son 6ème sens à lui), il a pêcho le garde à l'entrée pour se faire expliquer ce qui se passait dans le stade (une répète pour la fête qui célèbre les collégiens et les lycéens...) et c'est parti sur le foot... Bon, y'a pas, pour causer aux locaux, le foot, c'est vraiment le sujet n°1: et crois-moi, ça me coûte un bras de l'admettre. Partout où on est passés, comme il avait soit une casquette du Barça, soit une casquette du Galatasaray (il a ensuite acheté celle d'Antalyaspor), il s'est fait aborder par des mecs ou a pu lui-même, plus facilement, approcher des gens... Bizarre, mais c'est comme ça...
On a marché, en tout, dans la journée, une quinzaine de kilomètres; on a aussi acheté des tish, bu du çay à quelques mètres de la porte d'Hadrien en écoutant de la salsa, découvert un gigantesque marché (couvert, justement) bien planqué derrière des boutiques (et là, au milieu des fringues de marques "pas copies!", j'ai vu des sapes C.A -que je ne peux pas écrire son nom ici, sinon, je vomis: les spécialistes de la mode de merde reconnaitront)...
A 17h, on était de retour, because l'homme avait pris rendez-vous chez le barbier de l'hôtel... On jetera un oeil sur la piscine et surtout la "plage" de l'hôtel (qui se trouve en fait dans les rochers: ouaip, faut descendre à l'eau par une échelle...)
Juste, après le rasage, l'homme, il revient dans la chambre et il me dit (c'est important pour la suite...): "j'ai vu Kumar, alors, écoute, et pour une fois, tu fermes ta gueule: demain, il nous récupère à 11h30 et il nous emmène manger dans un resto près de l'aéroport. T'inquiète, je lui ai dit que t'étais végétarienne, y'a pas de soucis, il s'occupera de te commander un plat végé". J'ai dit "OK", mais j'aime pas trop qu'on me dise de "fermer ma gueule", comme ça, avant même que je l'aie OUVERTE.
Le soir, c'est dernière virée chez Carrouf et avant-dernière chez Starbucks.
(regarde plus près...)
Vendrediiiii!!!
8h50: on est debout, on a déjeûné, les sacs ne sont pas prêts, on s'en fout, on est au Starbucks pour notre dernier expresso.
En rentrant à l'hôtel, sa majesté le mari décide que c'est le moment de prendre un bain... pendant que je checke et re-checke le sac...
Je m'autorise une pause dans mes pensées bagagières pour souhaiter une poisse phénoménale à la pute borgne qui nous a tapé le cadal pour ma mère: rien de mortel, juste beaucoup de démangeaisons...
Ca fait un peu de peine, quand même, de se dire que dans quelques heures, on aura perdu 20°C...
11h15: devant l'entrée, au garde-à-vous, un peu de vent: fait moins chaud que dedans...
On prend le bus, Kumar nous explique que l'on va dans un resto construit au milieu d'un parc, blablabla... On arrive, on s'installe et le Kumar part de son côté. Moi, innocente, je dis à ChériChéri qu'il devrait peut-être lui rappeler que je ne mange pas de viande...
- Méééé c'est booon! Il a dit qu'il s'en occupait...
- il a dit ça hier soir...
- mééééé c'est boooon...
- je te préviens, si on me colle des brochettes dans mon assiette, je te les plante dans le cul!
Arrivent les mezzés... cool... puis un chausson... Je secoue le mari, qui demande au serveur s'il y a de la viande dedans: affirmatif. Mmmhhh ça commence bien... Donc, je regarde les autres bouffer... les serveurs reviennent et desservent... d'autres serveurs arrivent avec des brochettes de bidoche et vlan, on me colle une assiette que j'expédie sans ménagement devant mon mari sur le mode "t'as du bol, c'est ta tronche que j'aurais dû viser"... Et ben du coup, j'ai fait une scène à la Cléopâtre, et j'ai laissé le mari se démerder avec le serveur, tout en tirant la tronche... j'ai mis une ambiance de merde, et j'ai trop kiffé ça... "Tu m'as dit de fermer ma gueule, hier, j'ai fermé ma gueule, ben maintenant, toi tu l'ouvres et tu te débrouilles, je veux rien savoir!". J'ai eu droit à une espèce de pizza au fromage... mouais... je fais mieux à la casa... ça valait pas les 16€ du repas, stuveux mon avis... Le dessert était dégueulasse (les cheveux d'anges, c'est vraiment de la merde, surtout à côté de tous les desserts de folie qu'on a mangés pendant une semaine)... on se serait cru dans un de ces restos "nouvelle cuisine" où tu bouffe de la merde à un prix tellement exhorbitant que t'es obligé de dire que c'était magnifique si tu ne veux pas passer pour un con. Si je veux manger de la mierda, je vais dans un fast-food...
A 14h40, on a passé les barrages et les diverses séances de rayons X toussa toussa. Je n'ai pas sonné, mais ce coup-ci, j'ai réussi à me retenir de gueuler "yessss!", je sais pas... les guns des militaires, ptêt...
Et après, on est rentrééééééés à la casaaaa et il faisait 15°C dans la maison... et c'était trop injuste...
Tiens, je vais me rebouffer un loukoum, pour la peine...
06:05 Publié dans Mouah Mouah Mouaaah!!!, Voyage | Lien permanent | Commentaires (11) | | Facebook
24/05/2010
Allô? ... Docteur?... C't'encore mouah...
Nan, mais c'est pas comme si j'en avais déjà parlé, en plus... ICI, par exemple... *innocente*
C'est pas non plus comme si on me prenait déjà pour une allumée...
Alors, on va commencer de manière très scolaire, par des définitions made in Larousse MaxiPoche 2010 (non, c'est pas un dico inventé par les Têtes à Claques...):
Obsession: nf (tu m'étonnes), du lat obsessio: action d'assiéger (hein?) 1) en psychiatrie, idée qui surgit dans la conscience et l'assiège, bien que le sujet soit conscient de son caractère morbide 2) fait d'obséder; ce qui obsède: l'obsession d'échouer (syn: hantise, phobie)
Là, je me dis que c'est quand même un peu balèze, surtout le coup du caractère morbide de l'obsession... C'est pas comme si penser à une chose très très souvent et très très longtemps était mortifère... si? Ouais, bon, si tu penses à te balancer sous un train très très souvent, ptêt qu'à la longue, ouais, c'est pas très bon pour ton espérance de vie, mais quand même, quoi... Du coup, je suis allée jeter un oeil du côté de la version light:
Fixation (rien à voir avec les chevilles et les vis...): (fam): faire une fixation sur quelque chose ou quelqu'un, attacher une importance excessive à quelque chose, à quelqu'un: Elle fait une fixation sur ce chanteur (véridique... ils me connaissent, tu crois? :D)
Là, déjà, je me sens en terrain connu et reconnu. J'ai donc tenté une troisième définition:
Fixette: nf (de idée fixe) fam: idée qui obsède: Elle fait une fixette sur la vie parisienne (syn fixation)
Alors, en vrai, je pense que faire des fixations, surtout en en changeant plus ou moins fréquemment, comme c'est mon cas, est une bonne façon de contraindre mon cerveau chéri à rester concentré sur une chose à la fois. Il a en effet une fâcheuse tendance à s'égayer du neurone dans la nature et à me faire faire n'importe quoi.
Un exemple simple: je suis une obsédée de la liste. Si je veux être efficace du rangement/ménage/bouffe/etc (tout ce que j'aime) chez moi, il faut impérativement que je fasse une liste et surtout, que je m'astreigne à ne pas commencer une tâche tant que la précédente sur la liste n'est pas torchée. Ce qui m'oblige à garder la liste à portée de vue/main/cerveau, sinon, ça ne sert à rien...
Combien de fois me suis-je retrouvée les mains dans la vaisselle, autour d'un balai ou agrippées à la télécommande, alors que 10 secondes avant, je préparais à manger ou partais à la douche... Si ça fuse dans ma tête, je suis toute désorganisée et 300% inefficace. Je n'ai pas encore rangé le chiffon à poussière dans le frigo en allant me chercher un yaourt entre deux époussetages, mais c'est pas passé loin...
En même temps, bloguer remplace avantageusement la liste des trucs à faire dans la casa: je me colle à l'ordi, et je ne fais rien d'autre... jusqu'au moment où ça urge, et là, je dois faire un choix rapide... En général, j'opte pour "alimenter les enfants"... (surtout si c'est l'heure de manger et qu'ils sont là, en fait...).
Comme tu auras pu le constater dans ma précédente note concernant mes obsessions (légères, légères...), et comme rappelé plus haut: j'en change souvent. Je fais une fixette sur quelqu'un ou quelque chose et je bloque dessus pendant ... ok, en vrai, ça peut varier de quelques minutes à plusieurs mois... (même quelques années: entre la sortie du 1er album des Arctic Monkeys et la sortie du Chinese Democracy des Guns, en voiture, je ne pouvais écouter que le disque des AM. Rien d'autre. C'était la seule chose qui me convenait au volant -ouais, non, quand même, c'est uniquement quand JE conduis...-, qui me permettait de rester concentrée et de ne pas me disperser et rêvasser en pilotant, ce qui, tu en conviendras, est un comportement un chouia dangereux... mon pseudo n'a pas été choisi au hasard, je te le dis... Sachant que le 1er est sorti début 2006 et le 2ème en novembre 2008... tu comprends maintenant pourquoi mes gosses chantent les AM, et maintenant, les Guns...).
Etant une nana, je pourrais faire une fixation sur, au choix: mon nez, mes seins, mon cul, mon poids, mes centimètres, la longueur de mes jambes, ma pilosité et j'en passe, mais je suis heureusement dotée d'un amour de moi qui me susurre à l'oreille des "zyva, il reste des loukoums!" alors même que je constate que je n'ai pas perdu un gramme depuis des mois (juste après avoir pris 5kg...)... Mon cerveau est bien fait de ce côté-là, et je l'en remercie...
Nan, moi, la plupart du temps, je fais des méga fixations sur des mecs.
Pour des tas de raisons. Et pas parce-que j'ai envie de faire des cochoncetés avec. Nan, même pas.
Il suffit d'un truc bénin, d'un texte, d'une chanson (voire, d'une phrase dans un texte ou une chanson), d'un prononciation particulière (j'ai toujours eu un gros faible pour le PETIT cheveu sur la langue... le léger, celui qui s'entend à peine et qui ressort souvent plutôt en cas de stress... héhéhé...), d'une attitude, d'un style, de jolies mains, de beaux yeux noirs (ouais, normalement, les yeux noirs, ça me cause plus que les yeux bleus, alors, faudrait que j'arrive à m'expliquer à moi-même pourquoi ces derniers temps, mes chouchous ont tous les yeux bleus... c'est nase...), pour éveiller mon intérêt et me pousser à fouiller dans la bio ou les oeuvres d'une personne. J'aime savoir. Et si ce que je découvre me plait, j'aime en apprendre encore plus... Et ainsi de suite... Quand j'ai fait le tour de la question, j'ai une petite période de flottement pendant laquelle, je dois bien l'avouer: je m'emmerde. Il est rare que cela dure longtemps, autant je peux passer du coq à l'âne pendant une conversation, autant je suis capable de me fabriquer une fixette de substitution en attendant la prochaine... cf récemment, dans l'urgence, j'ai eu besoin de boutons art-déco. Ben ouais, j'avais un peu fait le tour de James Michael (Sixx:AM sortant un album dans l'année, tu peux raisonnablement t'attendre à ce que ça reprenne, je te préviens... je suis sympa...) et je n'avais plus de sujet de concentration pour m'endormir -entre autres usages.
On y vient, donc: quand je me couche, c'est comme quand je dois faire du rangement: j'ai 36000 idées à la seconde qui passent par ma tête et qui m'empêchent de me concentrer ou de me détendre. Mon doudou-fixette me sert alors à me concentrer... Nan, parce-que, les moutons, j'ai essayé, mais t'imagines même pas tout ce qui peut se passer: déjà, ils se mettent à changer de couleurs, ils se barrent dans tous les sens, y'a forcément une route pas loin avec des camions qui foncent, sans compter, le chien de berger, le loup, le berger, la bergère, le fils du berger qui va à l'école, les papiers à remplir, et comment ils vont faire l'an prochain pour aller seuls à l'école (t'as senti le virage?), et j'ai donné tous les papiers pour les inscriptions?, et je fais quoi à bouffer, demain?, et merde, j'ai encore oublié de regarder le menu de l'école, et c'est normal que je n'aie pas reçu la facture de la halte garderie?, et ChériChéri, il a payé sa dernière cotis' de mutuelle?, c'était quand, déjà?, etc... etc... ça n'arrête pas, ça se mélange, ça me fait chier et comme l'homme, en prime, il ronfle, j'ai aussi des envies de meurtres qui s'ajoutent au reste... C'est un peu le bordel pour m'endormir, quoi... J'ai pas le cul sorti des ronces.
Donc, je cultive mes petites obsessions, que je pourrais remplacer par des médocs en tous genres ou par de réelles addictions... mais j'ai déjà arrêté la clope, c'est pas pour me faire chier avec autre chose... (j'ai vérifié, je ne suis pas cyberdépendante... pfiou!)
Voilà, en deux notes, je pense que j'ai bien réussi à asseoir ma réputation de follasse finie, mais c'est pas grave, je m'aime comme je suis (ouais, je préfèrerais en 38, mais en ce moment c'est 42 et c'est comme ça...), et puis, fallait bien ça pour ma camarade Blonde et son concours... non?
Je terminerai juste par un clin d'oeil d'une finesse toute relative à ma fixette du moment (non, ce n'est pas le chanteur, lui, c'était y'a longtemps...):
bon, j'y retourne... ;-))