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30/11/2009

Leçon n°12526

17 ans...

Cela fait 17 ans que, régulièrement, je lui répète ces quelques mots.

Avec tendresse...

Avec douceur...

Parfois avec une certaine ironie...

Et même de temps en temps, avec un peu d'agacement...

 

Et cela fait 17 ans, qu'à chaque fois, il me répond:

...

Non, en fait, il ne répond rien, il écarquille les yeux, on dirait un gosse qui ne comprend pas ce qu'on lui dit...

...

Qu'y a-t-il de si complexe dans ces mots:

 

MAIS BORDEL DE MERDE, ON N'A JAMAIS EU ET ON N'A TOUJOURS PAS DE BROYEUR SOUS L'EVIER!!!!

ARRÊTE DE VIDER DE LA BOUFFE DEDANS!!!!

 

S6301748.JPG
(et là, encore, j'ai enlevé les pâtes et la choucroute...
sinon tu ne devinais pas que c'était une bonde...)


Sur ces belles paroles, je file chez le dermato faire enlever une verrue à Attila... Bah, ça me change de l'orthoptiste, l'ophtalmo, l'orthodontiste, le psy... Me demande ce que le Greffon va fréquenter comme cabinet, plus tard...

 

(ps: je te prépare une note/reportage-photos de l'espace sur le Toulouse Game Show -TGS-... le temps que je bidouille une certaine photo... si mon ordi veut bien arrêter de ramer... ptêt vendredi?)

29/11/2009

Un peu de brutalité dans un monde de pouêt

Je ne suis pas très très "poésie"...

Il y a quelques poèmes qui me plaisent, et certains que j'adore.

Comme celui-ci:

 

Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,
Fatigués de porter leurs misères hautaines,
De Palos de Moguer, routiers et capitaines
Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal.

Ils allaient conquérir le fabuleux métal
Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines,
Et les vents alizés inclinaient leurs antennes
Aux bords mystérieux du monde occidental.

Chaque soir, espérant des lendemains épiques,
L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques
Enchantait leur sommeil d'un mirage doré;

Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles,
Ils regardaient monter en un ciel ignoré
Du fond de l'océan des étoiles nouvelles.

 

José Maria de Hérédia - Les Conquérants.

 

Oualà...

Ben ça, ça me botte...

 

Bon dimanche!

28/11/2009

And here's Miss India(n Folaïes)

Trop faç', comme te dirait Témüjin (ptain! un siècle j'ai mis, à comprendre que le Mandarin, dans Iron Man Armored Adventures, notre nouvelle série familiale, était Gengis Kahn... Ouais, toi non plus, tu ne comprends pas? Ben, il s'appelle Gene Khan... Mais pas Gene pour Eugene, non, Gene pour... Témüjin... les ricains sont pas à ça près, hein... même chez Marvel... Pfff... Je n'ai compris que dans l'épisode où il repense à sa môman et où elle l'appelle par son petit nom... ).

 

Bref... laisse-moi te conter une autre histoire. Courte. Faut espérer.

(clique pour le fond sonore... et reviens lire ici...)

C'est l'histoire d'une belle et jeune princesse hindoue qui chevauche sur une route de campagne vers son bonheur... (A dos de zèbre, oui, y'avait plus d'éléphant au parkainge...). Hardie, haletante, tenant serré contre son coeur un petit bouquet de roses blanches, elle est parée de ses plus beaux atours...  un paparazzi qui passait par là, ému par tant de grâce (slow motion *on*), a capturé pour vous ces quelques images d'une insondable beauté... admirez cette position d'amazone (oups, merde! va y avoir de la requête pourrave...), ce port majestueux (tu sens le jeux de lettres, là? ou je dois insister?) et voyez comme son voile délicat se joue du vent capri-ci-eux... au loin, le soleil finit sa course dans un ciel sans nuage...

Une clameur s'élève des bosquets sur son passage (quoi? c'est Bollywood, nan? Des clameurs, si je veux!): "c'est elle! c'est elle!"...

 

Mais qui es-tu, belle inconnue au teint de pêche et aux yeux de génisse?

 

Miss India Folaïes.jpg

 

je vous laisse... je pars méditer...

 

 

 

(et comme j'ai pas de chat, faut bien que j'attendrisse la viande les lecteuses pour les votes...):

Allez steupb.jpg
(allez, vote pour ma môman!)